Dans
tout le monde est quelqu'un, Vincent Tholomé brosse vingt-quatre portraits
qui sont autant de scènes de vie réalistes, débridées, tristes ou loufoques.
Ce livre rend hommage aux quidams en leur inventant une histoire, en leur donnant une forme. Le poème est le théâtre des
drames de la vie quotidienne. La somme de ces portraits compose une
fresque authentique de l'existence moderne.
Lisez une
critique de Jan Baetens, parue dans la revue
Indications, vol. 64, no 4. (460 ko, format PDF)
Tout le monde est quelqu'un, Vincent Tholomé, 2007