Le recueil de Laurence A. Olivier met en scène le fragile équilibre entre ce qui déconstruit et reconstruit. L’univers noir et enivrant est surmonté grâce à cet autre que l’on rejoint et tente de rejoindre au petit matin. Le sucre des Ativans peut-il avoir raison du coeur véritable de la poète? La réparation a lieu quelque part dans ces éclairs de lucidité poétique.
Montréal, 2018, 76 p.